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pages accueil categories non classé archives juillet 2010 juin 2010 mai 2010 avril 2010 votre avis…. fireconsulting dans la momification alamachel dans amour et paysages crzycouk dans originalité et tradition chez les bamana essiene dans nouveau tournant krikrimapuce dans sagesses et proverbes africains sondage les enfants sont-ils nécessaires dans un couple oui non possible voir les résultats chargement ... vous devez être connecté à votre compte pour me contacter mon saisonier juillet 2019 l ma me j v s d « juil 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 mon grimoire juillet 2010 juin 2010 mai 2010 avril 2010 auteur: pages accueil méta inscription connexion flux rss des articles rss des commentaires non classé sagesses et proverbes africains 7 mai classé sous non classé par essiene | 5 commentaires voici quelques proverbes africains qui ne maquent pas de sagesse et d’intelligence . si tu peux marcher, tu peux danser. si tu peux parler, tu peux chanter… ce n’est pas parce que c’est dur que l’on ose pas, mais c’est parce que l’on ose pas que c’est dur si tu te tappes la tête contre une cruche et que sa sonne creux, n’en déduis pas forcément que c’est la cruche qui est vide… même le poisson qui vit dans l’eau a toujours soif soulève ta charge jusqu’au genou , on t’aidera à la mettre sur la tête ! si tu sèmes une épine, quand elle poussera, elle te piquera si tu regardes une image très laide, vérifies que ce ne soit pas ton reflet… ne repousse pas du pied la pirogue qui t’a déposé sur la berge. celui qui a planté un arbre avant de mourir n’a pas vécu inutilement tout a une fin, sauf la banane qui en a deux originalité et tradition chez les bamana 3 mai classé sous non classé par essiene | 4 commentaires les bamana, comme la plupart des africains, honorent leurs ancêtres et se placent sous la protection bienveillante de leurs esprits. leurs vies s’organisent autour de sociétés d’initiation qui leur enseignent tous les aspects de la vie bamana. celles-ci comprennent les sociétés n’domo, komo, nyama, kono, chiwara et koré. la société n’domo s’occupe de la circoncision et prépare les garçons à leur futur rôle d’adultes. ils y apprennent les origines de l’humanité. komo s’occupe de la loi et enseigne la cosmologie des bamana. c’est la société des forgerons. nyama agit contre la sorcellerie et les esprits malveillants. kono enseigne la dualité de l’humanité en tant que corps et esprit. chiwara célèbre l’être mythique qui enseigna l’agriculture aux bamana. koré fournit une instruction morale et enseigne l’importance de l’humanité dans l’ordre du monde. son enseignement porte sur la mort et la résurrection de l’individu. koré est divisé en huit niveaux distincts qui correspondent aux éléments célestes et terrestres. chirstopher roy le boli en forme d’animal fonctionne comme un autel de la société komo, qui est l’association la plus répandue dans l’aire bambara. les boli ne sont pas sculptés, mais construits à partir d’une structure et modelés avec des matériaux comme de la terre, du sang sacrificiel, des écorces, du miel, des noix de cola mâchées, du millet et de la bière. les formes du boli rappellent celles des sanctuaires et des constructions. leurs formes mal définies impliquent un secret que seuls les initiés peuvent pénétrer. jamais un non-initié ne peut les voir. les boli sont conservés dans un sanctuaire ou dans la maison d’un prêtre. leur puissance est réactivée par le sang d’animaux sacrifiés. ces objets, chargés d’une profonde signification ésotérique, inspirent crainte et respect aux initiés. au regard des bambara, les boli, les statues et les statuettes viennent aux tout premiers rangs des objets les plus sacrés de leur religion, avant les masques eux-mêmes. les boli ont suscité et suscitent encore le mépris, y compris celui de certains anthropologues qui demeurent obsédés, semble t’il, par « les manitous des sauvages, les fétiches des nègres ». en tout cas, s’ils alimentent de plus en plus la reflexion des africanistes, ils ne cessent de provoquer chez les profanes de tout bord peurs irrationnelles et fantasmes délirants. la croyance aux boli et en leurs pouvoirs constitue l’un des fondements de la religion mandingue en général et de la religion bambara en particulier. en effet, dans maintes localités habitées par des malinké ou des bambara, chaque société d’initiation, chaque confrérie excepté celle des subagaw ou subaaw, sorciers et sorcières, mangeurs d’âmes, et, peut-être, celle des géomanciens, chaque famille étendue, chaque homme influent, etc.., possédait et possède toujours ses propres boli. et pour cause ! le boli est, par définition, la manifestation de la force vitale, de l’énergie d’un esprit divinisé auquel il sert de réceptacle. de fait, selon de nombreux initiés, le mot boli proviendrait de l’atlération du vocable boli : sortie, émanation, manifestation d’un esprit supérieur. nouveau tournant 5 juillet classé sous non classé par essiene | 3 commentaires cette fois c’est décidé, faut que j’écrive ce que je sais écrire. les visages virtuelles m’ont fait tellement de remarques. faut que j’écrive des mots et des maux qui viennent de mon fonds, de mon fond intérieur. faut que je dise quelque chose de moi. oui faut que je leur parle afin qu’il sache que c’est moi. faut que je mette quelques photos de moi. non c’est une mauvaise idée, ils me reconnaitront, ils feront les commentaires dans les chaumières auprès de leurs cheminées. ils diront qu’ils ont reconnus prévert, jacques biensûr, petit-fils de monsieur lesevère. beuh et puis quoi. j’ai quand même écrit quelque chose venant de moi. je pense. « une orange sur table ta robe sur la tapis et toi dans mon lit doux présent du présent chaleur de mavie » paroles, alicante . la momification 15 juin classé sous non classé par essiene | 4 commentaires l’embaumement introduction les égyptiens croyaient à la survie de l’âme après la mort… il fallait donc que l’âme ait un endroit où vivre. et si l’âme était éternelle, le corps devait durer des ‘millions d’années’… les débuts au commencement, les égyptiens enveloppaient les défunts dans une natte ou une peau de bœuf et les enterraient dans le sable. la chaleur desséchait les corps avant la décomposition. les embaumeurs mirent au point une technique qui évolua au cours des siècles pour obtenir ce dessèchement artificiellement. ce traitement durait 70 jours et à l’origine, il n’était réservé qu’au pharaon. plus tard, les nobles et hauts fonctionnaires se firent embaumer. étape n°1 le corps était placé sur une table d’embaumement. cette table en pierre, sculptée en forme de lion, présente des rainures qui permettaient l’écoulement de l’eau et des fluides naturels lors du lavage et du traitement du corps. la première étape de l’embaumement qui ne commençait que 2 ou 3 jours après la mort, consiste à sortir le cerveau de la boite crânienne et ce, par les narines. pour cette opération, ils utilisaient un crochet de métal, généralement en bronze et mesurant jusqu’à 40 cm de long… ce crochet perçait la lame criblée de l’ethmoïde, déchirait les membranes et triturait le cerveau. le hachis obtenu était évacué par le même chemin. plusieurs scientifiques ont prouvé qu’un bâton métallique en spirale était utilisé pour cette évacuation. parfois, le cerveau était extrait par le trou occipital, la tête étant désarticulée puis refixée avec un pieu de métal qui s’enfonçait dans la cage thoracique. au début, la boite crânienne était laissée vide. ce n’est qu’à partir de la xii dynastie environ que l’on prit l’habitude de la remplir avec des bandelettes trempées dans un mélange de résine de conifères, de cire d’abeille, d’huiles végétales et plus tard de goudron. cet ensemble se solidifiait et formait une croûte. étape n°2 l’éviscération la deuxième étape consiste à éviscérer le défunt. on se servait alors d’une lame tranchante en pierre ( schiste ) avec laquelle on pratiquait une ouverture latérale dans l’abdomen . l’embaume